dimanche 23 mars 2014

 
Les 3°5 ont lu...
 
 

Au revoir là-haut de Pierre Lemaître, Prix Goncourt 2013

 
 
 
 


Au Revoir Là Bas (Ugo et Arthur)


  “Au Revoir La Haut” de Pierre Lemaitre, est un roman, basé sur la Première guerre mondiale, trop  lent à notre goût, mais qui plait au public. A travers le point de vue de plusieurs personnages inventés, Pierre Lemaitre nous raconte l’expérience d’un soldat Albert Maillard en 1918.

 

   Premièrement, nous pensons que l’auteur du roman, grâce à des personnages, met en place le suspense, comme dans le cas d’Albert Maillard qui se retrouve enseveli sous la terre emporté par un obus. De plus, Pierre Lemaitre suscite notre pitié à travers la description lente et douloureuse d’Albert qui suffoque à côté d’un cheval mort.

 

  Ensuite, nous trouvons qu’Edouard l’homme fortuné et chanceux fait un acte héroïque mais irréel en réaniment Albert lors d’une bataille. Cet acte fait remonter de la joie chez  certains lecteurs mais pas pour d’autres qui recherchaient la réalité, en d’autres termes, c’est un moment qui n’est pas indispensable à l’histoire.

 

   Pour conclure, Pierre Lemaitre nous manipule grâce à des événements qui conjurent la tristesse. “Au Revoir La Haut“ mérite bien son prix Goncourt.


mardi 18 mars 2014

Les élèves de 3e5 ont lu...

Au revoir là-haut de Pierre Lemaître


Au revoir là haut, un polar historique ?

    Un cadre vu et revu, des personnages cyniques, un roman noir, serait-ce la recette d’un succès phénoménal ?

     Novembre 1918, l’histoire commence avec l’ensevelissement manqué du poilu Albert et de son sauvetage in extremis par son camarade de guerre, Edouard.
Par la suite, Pierre Lemaitre dénoncera le fait que la France glorifie ses morts tout en oubliant ses survivants.

    Cet incipit serait bouleversant à un détail prés....En effet, tout ce lot de coïncidences bien enchaînées (Edouard tombe par hasard sur le trou où est « enterré » Albert) nous laissent sur notre faim. La fin du troisième chapitre est trop artificielle pour pouvoir être qualifiée d'émouvante. Le retour à la vie d’Albert, inespéré, qui se réalise pourtant, en est la cause.

   De plus, la conception du suspense par Pierre Lemaitre est pour le moins surprenante. Celui-ci nous glisse des phrases abruptes et choquantes que nous avons du mal à accepter. « Albert Maillard est mort.». Cette incartade provient peut être du fait que l’auteur écrivait exclusivement des romans policiers.


Pour ces différentes raisons, nous sommes donc surpris de ce prestigieux prix, le Goncourt, accordé à ce roman. 

dimanche 2 mars 2014

Littérature et société - sélection des cinq continents

Dans le cadre de l'enseignement d'exploration en "Littérature et société", les élèves de seconde ont exploré cette année les littératures des cinq continents. En groupes, ils ont lu, présenté, débattu et choisi leurs titres préférés. 

Voici leur sélection de livres : 
Mille Femmes blanches de Jim Fergus, éditions du Cherche Midi, 2011
Les Neiges bleues de Piotr Bednarski, éditions Autrement, 2008
L'Attentat de Yasmina Khadra, éditions Julliard, 2005
Balzac et la petite tailleuse chinoise de Dai Sijie, éditions Gallimard, 2000
Les Armes secrètes de Julio Cortázar, éditions Gallimard, 1993



Vous pouvez lire leurs critiques (ne faites pas attention aux fautes d'orthographe) ci-dessous :  







Venez les emprunter au CDI !